Sortie du samedi 25 juin 2022

27/06/2022 09:34

Que d’indécision, d’indétermination en ce samedi matin sur ce que la météo nous réserve. Et chacun y va de son site météo favori ou fétiche ! Pleuvra, pleuvra pas ? Toujours est-il que quelques gouttes viennent frapper le pare-brise durant le trajet Versailles-Marly alors que Dominique s’évertue à faire écouter à JF son application météo qui énonce 90% de probabilité de pluie pour chaque heure de la matinée. N’empêche, il y a encore quelques coins de ciel bleu lorsque nous arrivons au garage. Tout le monde est au rendez-vous mais diversement pressé de partir. Seul Jacky, sûr de son appli Météo Blue, certifie qu’il n’y a rien à craindre. Et de fait, malgré deux-trois gouttes, le temps de refixer le capteur de vitesse sur le moyeu avant du tandem de Dominique, la route demeure bien sèche. Il faut donc partir ce que font les 4 équipages, accompagnés d’Alain et Philippe dont voici le compte-rendu.

« C'est un temps maussade qui accueille au départ les quatre tandems et les deux vélos solo qui les accompagnent. Quelques gouttes de pluie éparses semblent annoncer les averses prévues pour le milieu de journée. Mais la troupe ne se laisse pas effrayer pour autant et prend quand même le départ, avec raison finalement, puisque la pluie n'arrivera sur Marly qu'après notre retour.

Le départ s'effectue par le centre de Marly et la côte de l'avenue des combattants le long du parc. Après un arrêt au stade de la forêt pour regonfler le pneu arrière d'un des tandems qui semble légèrement à plat, vient ensuite la classique traversée de la forêt jusqu'à Sainte-Gemme pour se lancer sur le plateau des Alluets jusqu'au hameau des Flambertins. Il ne fait toujours pas très chaud et les nuages gris restent bien présents au-dessus de nos têtes. Nous descendons ensuite vers Crespières, puis prenons la route de la Maladrerie pour longer ensuite la voie de chemin de fer jusqu'à Beynes. Nous devons rentrer pour 11h30, il faut donc choisir à partir de là un trajet pas trop long. Nous décidons de monter vers Marcq, pour tourner ensuite à droite en direction d'Andelu. Mais l'heure tourne, il faut alors couper au plus court, ce que nous faisons en prenant la direction de Montainville, pour redescondre dans la vallée de la Mauldre et retrouver la Maladrerie. La fon du parcours reprend alors le même chemin que le trajet aller. Retour à Marly avec un petit quart d'heure de retard sur notre objectif de 11h30. »

 

JF de son côté, toujours en délicatesse avec son tendon d’Achille, préfère s’abstenir et aller préparer tranquillement le pot prévu pour 11h30. Et inquiet de l’évolution météo, il s’en retourne dès 11h00 au temple au cas où il y aurait un retour anticipé. Il est rejoint peu de temps après par Chantal et tous deux décident d’installer l’apéro sur la table sous les arbres qui pourraient servir d’abri en cas de pluie. Et toujours pas une goutte jusqu’à 11h30 avec même un temps un peu plus clair. Un coup de fil de Philippe les prévient alors du retard du groupe qui finit par arriver à 11h55, heureux des 62 km parcourus. C’est donc bien à couvert et avec de rares gouttes que débute l’apéritif entre les 13 personnes présentes, Dominique Pelletier nous rejoignant pour l’occasion. Colette, notre vice-président, accorde à Jacky une rupture de CDI sans contrepartie si ce n’est de revenir nous voir de temps à autre, et lui souhaite d’entamer qui sait un nouveau CDI sous les cieux méditerranéens, tant il serait dommageable de ne pas utiliser ses compétences de pilote et de mécano. Tout le monde s’accorde à dire que c’est une grosse perte pour l’association mais Jacky a bien fait les choses puisqu’il a ces derniers jours initié Daniel, Philippe et Alain au rayonnage et à la purge des freins hydrauliques. Des documents écrits ont été réalisés par ses soins et ceux de Philippe et seront conservés précieusement. C’est donc soulagés que les présents partagent brownies au parmesan et au curcuma (Antoine), sablés au parmesan (Colette), feuilletés au chèvre et au miel Chantal), feuilletés au pesto et aux graines de sésame (JF), le tout arrosé d’un kir à la mûre. Une seule fausse note attribuée à JF, celle de ne pas avoir prévu assez de vin blanc pétillant (3 bouteilles seulement !) pour assurer à tous une seconde tournée ! Mea culpa…